Nous avons chacun notre part de responsabilité
C'est l'heure de la reconstruction. Notre économie a été comme frappée par la foudre. Elle redémarre lentement, presque timidement.
Lire la suiteL' été se termine. Les murs des écoles résonnent aux cris des enfants, les routes sont encombrées… Bref, la rentrée est bien là.
Chez UCM, nous avons rechargé nos batteries mais notre téléphone est toujours allumé, près de nous. Nous n'avons jamais déconnecté, pour rester au plus près de l'actualité économique.
Cette rentrée sonne aussi l'heure des bilans de la dernière année académique. Ne pas avoir touché à la loi de 1996 sur la compétitivité des entreprises ni supprimé le coefficient de correction des pensions minimales des indépendants sont des victoires. À terme, la pension d'un indépendant sera équivalente à celle d'un salarié. Enfin, avoir préservé le caractère illimité dans le temps de la mesure "zéro coti" lors du premier engagement d'un collaborateur est très positif.
Nous sommes prêts pour notre rentrée politique. La nôtre et la vôtre. Car les PME seront, plus que jamais, au cœur des programmes électoraux. Aux premiers frémissements de la prochaine campagne électorale, nous posons nos exigences dans un mémorandum, qui sera rendu public dans les prochaines semaines. La fiscalité, l'emploi, la formation, l'économie, l'environnement et le statut social sont les grands thèmes prioritaires.
Un exemple. Les PME sont confrontées à la mauvaise connaissance des jeunes diplômés, à la fois du monde du travail, mais aussi du poste qu'ils vont occuper. Les jeunes ne bénéficient pas toujours d'une formation répondant aux réalités et exigences des PME. C'est la raison pour laquelle UCM revendique l'entrée du monde de l'entreprise dans les pouvoirs organisateurs des réseaux d'enseignement. Lorsque le cursus du jeune reflétera les besoins des PME, il lui permettra d'être opérationnel dès son arrivée.
Nous parlerons également emploi dans ce mémorandum, et adaptation du cadre de travail, qu'il faut moderniser face aux réalités de terrain. Si on autorise les absences sans certificat médical, on devrait pouvoir négocier dans les PME sans syndicats. Il faut aussi plancher sur le déplafonnement des heures supplémentaires, parler de congés en heures et plus en jours.
Le travail et la richesse fournis par les PME doivent être mieux respectés !
UCM revendique un cadre plus moderne et souple de travail mais aussi un contrat social pour l'ensemble de la société, où travailler redevient une valeur. Où il fait bon entreprendre, dans un environnement fiscal "PME friendly", permettant des échanges avec l'administration constructifs… et pas répressifs.
Maintenant, plus que jamais, nous devons nous mobiliser pour l'avenir. Les prochaines élections représentent une occasion en or de faire entendre notre voix et de façonner les politiques qui vous concernent directement. UCM se fait le porte-voix de vos préoccupations.
Les prochaines élections sont une opportunité que nous ne pouvons pas nous permettre de manquer. C'est le moment de nous mettre en ordre de bataille pour défendre nos droits, nos intérêts et notre voix collective. D'asseoir notre force et notre détermination.
C'est l'heure de la reconstruction. Notre économie a été comme frappée par la foudre. Elle redémarre lentement, presque timidement.
Lire la suiteLes primes régionales devaient permettre de faire face aux charges impossibles à reporter. Force est de constater qu'en Wallonie en particulier, il a fallu trop de temps pour déterminer les bénéficiaires et beaucoup trop de temps pour procéder aux versements. Face à l'urgence, je ne comprends pas les hésitations, les atermoiements, les chicaneries.
Lire la suiteJe ne sous-estime pas pour autant l'impact du confinement sur vous, mes amis indépendants et chefs de PME. C'est une crise sans précédent depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Je mesure votre désarroi, je sais votre angoisse. Comme président UCM, je suis en tout cas fier de la façon dont notre "maison" a réagi. Et nous allons encore nous faire entendre !
Lire la suiteOù cela va-t-il s'arrêter ? L'irruption en Chine, puis en Europe, du Covid-19 suscite les plus grandes inquiétudes.
Lire la suiteNous aurons douze milliards d'euros de déficit public cette année, soit 2,3 % du PIB (richesse produite). La Commission européenne prévoit 2,6 % pour 2021. Ce serait le pire résultat de l'Union, derrière la Roumanie et l'Italie.
Lire la suite